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Sylvie Kids - la maîtresse décolle

La maîtresse décolle

Sylvie la maîtresse décolle
Photo
01-les doigts dans...
                                                                         Les doigts dans…
 
J’ai mis les doigts dans mon nez
Savez-vous c’que j’ai trouvé ?                      bis
Deux paires de souliers                                    
Trop p’tits pour mettre à mes pieds !
 
J’ai mis les doigts dans l’oreille
J’y ai pêché des merveilles!                             bis  
Deux petits poissons
Ah! Mais qu’ils étaient mignons ! 
 
Ce sont des bêtises que tu me dis là,
Mais je veux y croire, ça me plaît comme ça !           bis
 
J’ai mis les doigts dans la bouche
Ca va vous paraître louche                               bis
Mais j’en ai sorti
Deux tee-shirts et deux képis !
 
Je m’suis mis le doigt dans l’œil
Il y avait un écureuil                                         bis 
Qui t’nait dans ses pattes
Deux toutes petites patates !
 
Ce sont des bêtises que tu me dis là,
Mais je veux y croire, ça me plaît comme ça !             bis
 
J’ai habillé les p’tits poissons,
Les ai installés dans l’ salon.                               bis
Ils étaient à l’aise
Chacun assis sur une chaise !
 
L’écureuil est arrivé,
Leur a servi le dîner.                                            bis   
Ils ont pu goûter
Aux pommes de terre en purée !
 
Ce sont des bêtises que tu me dis là,
Mais je veux y croire, ça me plaît comme ça !                4 fois
Photo
02-la chenille
                                                                La chenille
 
 J’ai une chenille sur ma casquette ,
Quand est-elle arrivée là ?
Casquette rouge, chenille verte,
Petite amie que fais-tu là ?
 
Dans le creux de mon oreille,
Elle est venue murmurer
Qu’elle était venue la veille
Pour partager son secret.
 
Puis elle s’est mise à valser,
A faire des acrobaties,
Ma casquette a transformé
En une arène de cirque.
 
Tous les gens du voisinage
Sont venus pour admirer
Cette artiste de passage
Sur ma tête installée!
 
Elle a dansé les claquettes
Puis comme une somnambule,
Sur le bord de ma casquette
A joué les funambules.
 
D’un seul coup elle s’est calmée,
A fabriqué un cocon,
Puis elle s’y est enfermée
Comme dans une petite maison.
 
C’est à la fin de la nuit
Qu’avec une grande émotion,
J’ai découvert qu’mon amie
Etait devenue papillon !
 
Quand du sommet de ma tête
L’papillon s’est envolé
J’ai pensé « fini la fête ! »
Ma casquette, j’ai enlevé.
 

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03-la fleur speciale
                                                                         La fleur spéciale

 
C’est une fleur spéciale
Que l’on nomme amitié,
Chaque jour un pétale
Peut venir s’ajouter.


 
Pétale de montagne
Qui nous remplit de sons,
Pétale de Bretagne
Qui sent bon la chanson,
Pétale du Tessin,
Relents de carnaval,
Pétale en italien
Qui nous invite au bal.


 
C’est une fleur…
 
Pétale de l’enfance,
Ses souvenirs heureux,
Pétale d’adolescence,
Et ses joies, et ses bleus,
Pétale magicien,
Public émerveillé,
Pétale médecin
Emotions partagées.


 
C’est une fleur…
 
Pétale trop lointain
Mais très proche pourtant,
Pétale si voisin
Que l’on voit trois fois l’an,
Pétales inconnus
Pas encore rencontrés,
Pétales disparus
Mais jamais oubliés…


 
C’est une fleur spéciale
Que l’on nomme amitié,
Chaque jour un pétale
Peut venir s’ajouter.
Cette fleur avec toi
Je veux la partager,
Si tu en es le roi,
J’en suis le jardinier.


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04-La pizza
                                                                    La pizza
 
Quand j’suis partie pour l’Italie
J’ai rencontré l’ami Pietro
Qui mangeait d’un bon appétit
Une pizza dans un bistro
« Viens donc t’asseoir » m’a-t-il dit
« C’est plus sympa quand on est deux »
Un bout d’sa pizza me tendit
Je l’ai mangée, c’tait délicieux ! En Italie !
 
      En Italie, on y mange bien, et sont sympas, les italiens !
 
J’ai pris le train pour le Tessin
A la gare Claudio m’attendait
Pour moi, il avait le dessein
De m’inviter pour le souper.
Après la pizza d’Italie
J’ai donc goûté au risotto
Qu’avait cuisiné son amie
C’était bien bon mais c’était trop ! Je vais grossir !
 
      Je vais grossir, est-ce donc un crime, non c’n’est pas grave, j’f’rai un régime !
 
C’est en rentrant à la maison
Qu’j’me suis arrêtée en Valais
Pour partager un gueuleton
Avec le vaillant oncle André
La viande séchée était parfaite
Et les châtaignes bien rôties
Mon estomac criait « pitié,
J’en ai assez, laisse-moi tranquille ! » Je vais vomir !
     
      Je vais vomir, c’n’est pas une honte, mais ça fait mal, quand ça remonte !
 
Quand je suis arrivée chez moi
Après un voyage exquis
J’avais une telle crise de foie
Que je n’ai pu sortir du lit
J’n’ai rien avalé en trois jours
Ensuite je me suis rétablie
Et j’ai pensé « ça vaut l’détour
Je vais r’partir pour l’Italie » Vive la vie !
 
      Vive la vie, quelle belle journée, je me sens mieux, j’vais y r’tourner !
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05-Le petit chat
                                                                Petit chat
 
 En r’gardant par l’trou d’la serrure
J’ai pu voir un petit chat
Qui r’niflait la nourriture
Qu’maman avait faite pour moi.
 
     Attention, petit chat
    Ce bon plat n’est pas à toi
    Si tu y goûtes, tu verras
    Ce que ça te coûtera !
 
 Quand j’ai entrouvert la porte
Le chaton avait croqué
La moitié de la biscotte
Et léché le praliné !
 
    Qu’as-tu fait, petit chat
    Il n’fallait pas y toucher
    Ce n’était pas à toi
    Vois ce qui va t’arriver !
 
En entendant mes paroles
Le glouton s’est retourné
Et d’un petit air mariole
A commencé à miauler !
 
            Il me disait : « C’est bon, c’est bon ! »
           J’ai répondu «  Mon polisson,
           Si tu savais ce qui t’attend
           Tu aurais réfléchi avant ! »
 
C’est à ce moment précis
Que le minet a changé
Et que sans pousser un cri
A commencé à gonfler.
 
     J’t’avais dit, petit chat
    De n’pas m’voler mon repas
    Ce sera dès cette nuit
    Que tu déménageras !
 
C’est par la fenêtre ouverte
Que le chat s’est envolé
Poussé par un courant d’air
Une nouvelle étoile est née !
        
           Depuis ce jour, il y a deux yeux
           Qui nous regardent du haut des cieux
           Et un miaulement retentit
           Quand on veut prendre les choses d’autrui !   
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06-Voyage
                                                                           Voyage
 
Dans un bel avion
Je m’suis envolée
Je voulais chercher
Une nouvelle maison.
   
    Arrivée sous les tropiques
    J’n’ai rencontré que des moustiques !
 
Sur un grand voilier
J’ai fendu les mers
J’avais un peu l’air
D’une aventurière.
   
    Sur une plage j’ai débarqué
    La marée noire l’avait souillée !
 
J’ai pris un vieux train
Qui m’a emmenée
Dans une vallée
Peuplée d’assassins.
   
    Vite je me suis enfuie
    Avant d’avoir été occise !
 
En téléphérique
Je suis allée haut
C’était vraiment beau
Mais il y avait un « hic »
   
    J’ai été prise de vertige
    J’croyais faire de la voltige !
 
En métro sous terre
Dans la grande ville
Nous étions bien mille
Qui voulions de l’air
   
    Ca ne m’a pas beaucoup plu
    C’est juré je n’le ferai plus !
 
Dans un sous-marin
J’ai pu embarquer
Et j’ai traversé
L’océan indien.
   
    Une fois l’pied de l’autre côté
    Je n’ai fait que d’m’ennuyer !
 
Je suis donc rentrée
Sur ma trottinette
Et le cœur en fête
Dans mon p’tit chalet.
   
    Et j’y ai enfin trouvé
    La paix que je recherchais !
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07-le Blues du Sparadrap
                                                                      Le blues du sparadrap
 
 Collé sur ce front gluant,
Je lis toutes les pensées
De c’t’individu puant
Aux cheveux si gominés.
Je rêve de me décoller,
De glisser sur sa moustache,
D’y rester bien accroché
Pour empêcher qu’il ne lâche
Un mot de trop !
 
C’est le blues du sparadrap
C’est le blues du sparadrap
 
Quand on m’y a installé
Sur la jambe du vieux René,
J’ai bien pensé résister
Malgré l’odeur de ses pieds.
Je finirai par tomber,
J’m’échapperai de ce calvaire
Qu’on a voulu m’imposer
Pour protéger son ulcère,
Je n’en peux plus !
 
C’est le blues du sparadrap
C’est le blues du sparadrap
 
Je m’suis collé sur un cœur,
Il y avait une telle douleur
Que j’me suis mis à pleurer,
Il était désespéré.
La rivière de mes larmes
A coulé dans sa blessure
Et a pu éteindre les flammes
Qui en brûlaient la nature.
J’peux m’en aller !
 
C’est le blues du sparadrap
C’est le blues du sparadrap
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08-La douche
                                                                            La douche

Ce matin, j’ai pris ma douche
J’ai glissé sur le tapis,
Pas même le temps de dire « ouch ! »
J’en étais toute abrutie !
 
Ma main t’nait encore l’savon
J’avais l’pied tout amoché
Et j’me suis cogné l’menton
Sur la cuvette des wc !
 
J’ai des bleus partout
J’ai mal aux genoux
Mais j’aurais bien pu
Avoir mal au c.. ! Oh !
 
A midi j’allais manger
Quand j’ai rencontré ma sœur,
Elle était accompagnée
Par la fille du facteur.
 
Son chien m’a mordu la jambe
Et lacéré mon soulier,
L’a fallu que je m’défende
Comme un lion pour m’libérer !
 
J’ai des bleus partout
J’ai mal aux genoux
Mais j’aurais bien pu
Avoir mal au c.. ! Oh !
 
Le soleil était couché
Et mon ventre criait :« famine!»
Je suis donc partie souper
Au restaurant d’ma cousine.
 
Dès que je me suis assise
Le pied d’la chaise a cassé,
Alors j’ai poussé un cri
Sur le coccyx j’suis tombée !
 
J’ai des bleus partout
J’ai mal aux genoux
Et cette fois j’ai eu
Vraiment mal au c.. ! Oh !
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09-Moustiques
                                                                         Moustiques
 
De l’autre côté de l’Atlantique,
Bien au-delà du Saint-Laurent,
Vit une famille de moustiques
Papa, maman, leurs deux enfants.
 
On les appelle les maringoins
Leurs piqûres sont inoffensives
Bien au contraire elles font du bien
A tout les amis qui arrivent…
 
De l’autre côté…
 
Papa Moustique est le plus grand
Bien baraqué, sourire aux lèvres
Cœur en avant, toujours chantant
Il vous reçoit comme dans un rêve.
 
De l’autre côté…
 
Maman Moustique est sa compagne
Douce et joyeuse, tendre amoureuse,
Elle rit beaucoup, est pleine de charme
Elle a une âme à être heureuse.
 
De l’autre côté…
 
«  Et les enfants ?» me direz-vous
Un beau mélange évidemment,
Nourris des gestes de l’amour
Ils sont souriants et bons vivants.
 
De l’autre côté…
 
Si vous voulez les rencontrer
Il vous faudra prendre votre envol
En Abitibi vous irez
Faites-vous piquer en touchant le sol !
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10-La tête sur
                                                                              La tête sur…
 
J’ai laissé la tête
Sur la table de nuit,
Elle n’avait pas besoin
De tous ces ennuis !
 
Quand je me suis réveillé(e),
Le soleil était levé,
Il m’a fait si mal aux yeux,
J’en suis devenu(e) tout(e) bleu(e) !
 
J’ai…
 
Je suis allé(e) prendre ma douche,
Et j’ai trop ouvert la bouche,
Le savon, j’ai avalé,
En f’sant des bulles, je parlais !
 
J’ai…
 
J’ai pris mon p’tit déjeuner,
Cacao, tartines beurrées,
Mais le couteau m’a coupé
Un tout petit bout du nez¨ !
 
Je me suis brossé les dents
Jusqu’au fond et bien devant,
La brosse à dents a dévié
Et ma langue a blessée !
 
J’ai…
 
Quand dans ma chambre  j’suis r’tourné(e)
Pour vite aller m’habiller,
Contre l’armoire, j’me suis cogné(e),
Une belle bosse, je me suis fait !
 
Alors, alors…
 
J’ai laissé la tête
Sur la table de nuit,
Elle n’avait pas besoin
De tout ces ennuis !
 
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11-Gilbert et Marianne
                                                                 Gilbert et Marianne
 
Gilbert et Marianne
Vont à la montagne,
Gilbert et Marianne
Chacun sur un âne,
Sont partis très tôt,
Ont bâté leur âne
Et au petit trop
Sont montés à la cabane.
 
Mais chemin faisant
Le premier des ânes,
Mais chemin faisant
S’arrêta l’infâme
Pour brouter un vert,
Un tendre chardon
Obligeant Gilbert
A laisser là son glouton !
 
Alors dépité
Monta sur l’autre âne
Se tenant serré
A la belle Marianne,
Mais l’âne s’énerva,
Fit un rodéo
Qui désarçonna
D’un seul coup les tourtereaux !
 
Et c’est d’un bon pas
Qu’ils sont repartis
L’âne vers le bas
Et eux vers la cime
Et quand au sommet,
Ils sont arrivés,
Ils se dirent qu’en fait,
C’était beaucoup mieux à pied !
 
Depuis ce jour-là,
Gilbert et Marianne
Ne se quittent pas,
Même pas pour un âne.
Ensemble ils iront
Fonder une famille
Et le prochain mont
Sera celui de la vie !
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12-Le chat et le rat
                                                                             Le chat et le rat
 
Zohra promène son rat.
Telma promène son chat.
Quand elles se sont rencontrées,
Le chat a mangé le rat !
 
Mademoiselle Anouchka
A tiré la queue du rat.
Il est ressorti du chat
Un peu abîmé je crois !
 
C’est chez le docteur Thibault
Qu’elle a amené le rat.
Il a recousu le dos
Du malheureux animal.
 
    Samuel est passé,
    Il a recueilli le rat,
    L’a ramené chez Zohra
    Et y est resté pour souper
 
Quand Karim a vu le chat
De la jolie Telma,
Il l’ trouvé un peu las
L’avait mal à l’estomac !
 
Il a app’lé : « Nicolas ! »
Pour venir soigner le chat
Mais quand il est arrivé
C’est Telma qu’il a r’marqué !
 
C’est ainsi qu’est v’nu Aurel
Pour célébrer deux mariages,
Celui d’Zohra et d’Samuel
C’lui d’Telma et d’Nicolas !
 
    C’est donc grâce au chat
    Qui a mangé le rat
    Que cette histoire a commencé
    Et qu’elle s’est si bien terminée !
 
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13-Les lunettes
                                                                        Les lunettes
 
Où sont passées mes lunettes ?
Je les ai cherchées partout !
Elles étaient dans ma mallette
Elle devait avoir un trou !
 
C’est quand même étrange
Que je ne les trouve pas.
C’est peut-être un ange
Qui est passé par là !
 
J’ai perdu ma veste bleue.
Elle était dans mon armoire!
Il n’y reste qu’un miteux
Petit anorak noir !
 
C’est quand même étrange
Que je ne la trouve pas.
C’est peut-être un ange
Qui est passé par là !
 
J’ai paumé les pantalons
Que je venais d’acheter.
Ca me fera une leçon
Je n’avais qu’à les ranger !
 
C’est…
 
J’ai égaré mes souliers,
Ceux que je mets le dimanche.
Je venais de les cirer
Pour aller voir la tante Blanche !
 
C’est…
 
J’ai vu la petite Cathy
Etrangement déguisée,
Passer en catimini
Dans la rue illuminée.
Elle avait mis mes lunettes,
Mes pantalons, mes souliers
Et portait ma vieille veste
Tout ça pour aller danser !
 

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14-J'ai mal
                                                                   J’ai mal…

J’ai mal aux bras, j’ai mal aux bras !
J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts !
De plus j’ai mal à l’estomac !
Mais c’est tant mieux
J’garde mes ch’veux !
 
Si ton corps te fais souffrir,
Qu’tu n’as pas envie de rire,
Essaye au moins de chanter
Ce refrain d’un cœur léger !
 
J’ai mal aux bras, j’ai mal aux bras !
J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts !
De plus j’ai mal à l’estomac !
Mais c’est tant mieux
J’garde mes ch’veux !
 
Si dans ta vie tout fout l’camp,
Qu’ton av’nir te semble absent,
Cette p’tite chanson suffira
A t’redonner un peu d’joie !
 
J’ai mal aux bras, j’ai mal aux bras !
J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts !
De plus j’ai mal à l’estomac !
Mais c’est tant mieux
J’garde mes ch’veux !
 
Si s’abat sur tes épaules
Tout le poids d’une vie pas drôle,
Fredonne donc en souriant
Cet air gai et entrainant !
 
J’ai mal aux bras, j’ai mal aux bras !
J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts !
De plus j’ai mal à l’estomac !
Mais c’est tant mieux
J’garde mes ch’veux !
 
Si tes amis t’ont quitté,
Qu’tu te sens abandonné(e),
N’oublie pas qu’ils reviendront
Et qu’avec toi ils chanteront…
 
J’ai mal aux bras, j’ai mal aux bras !
J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts !
                                         

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15-rencontre
                                                     Rencontre
 
Je l’ai rencontré sous un pont,
Tout petit garçon
Blotti sous une couverture.
Je l’ai rencontré sous un pont,
Quelle aventure !
 
C’était un petit matin frais,
Le soleil pointait,
Le gamin ouvrait les yeux .
C’était un petit matin frais,
Un peu venteux !
 
Je lui ai tendu un croissant
Et en le mangeant
Il m’a raconté son histoire.
Je lui ai tendu un croissant,
C’était bizarre…
 
Il était parti le soir avant
Courant derrière son chat tout blanc,
Mais le chat avait disparu
Et lui s’était perdu .
 
C’est ainsi qu’il s’était retrouvé
Tout seul et loin de la maison
Sans remarquer qu’la nuit tombait
Sur toute la région.
 
Il avait donc trouvé un abri
Sous le vieux pont de la rivière
Et il s’y était endormi
Jusqu’à mon arrivée.
 
Juste à la fin de son récit
J’entendis un bruit.
Ce fut vraiment surprenant
De voir à la place du gamin
Un chat tout blanc !
 
Alors il m’a bien regardé,
Il me souriait
Moi, au chaud sous ma couverture.
Alors il m’a bien regardé,
J’avais rêvé !

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Email: [email protected]
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Illustrations : Marc Fontaine | Site réalisé par webromand.ch
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